L’impact climatique du train de vie des populations les plus aisées passe de plus en plus difficilement dans une opinion publique sortie échaudée d’un été caniculaire et à qui l’on promet un hiver de sobriété forcée. Ses expressions outrageuses qui ont fait l’actualité ces dernières semaines témoignent de l’ampleur de la transformation à enclencher... et appellent à une redéfinition complète de ce que l’on entend par "richesse".

Malgré l’acharnement de la planète à témoigner de son désespoir, au moyen d’épisodes climatiques à la fréquence plus soutenue et à la violence moins contenue, quelques irréductibles résistent encore aux théories du Giec. De ce tragique constat jaillit une question : qui est encore climato-sceptique ?

Un sondage "OpinionWay – Square pour Les Echos et Radio Classique", explore le soutien des Français aux quelques mesures ou incantations environnementales annoncées par le gouvernement. Les résultats en disent moins sur la pénétration des enjeux écologiques dans l’opinion que sur le vide abyssal du récit politique qui doit les porter. Explications.

Basé sur le concept de permaculture, autrement dit la création d’écosystèmes respectueux de la biodiversité, la permaentreprise entend cultiver une activité performante, attentive à l’humain et à la planète, par l’exploitation frugale des ressources et le partage des bénéfices. Discernement pour certains, hérésie pour d’autres.

Les marques sont au coeur d'une période charnière dans laquelle il devient compliqué de ne pas communiquer sur l'écologie mais où le consommateur n'est déjà plus dupe. De quoi remettre en cause le principe même de greenwashing et s'interroger sur le bien-fondé de sa généralisation. 

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