Le cabinet de conseil en stratégie, spécialiste de la transition énergétique et de l’adaptation au changement climatique unit ses forces et son expérience avec Isabelle Kocher de Leyritz, leader reconnue de la transformation des entreprises et ancienne CEO d’Engie pour créer Blunomy.

L’ambition de la nouvelle structure : contribuer à inventer de nouvelles règles pour faire émerger une économie décarbonée, créer des outils innovant pour redéfinir ce qu’est le succès, briser les silos pour évoluer vers une société régénératrice, zéro carbone, circulaire et inclusive. Comment ? En s’associant avec des institutions financières, des entreprises et des entrepreneurs qui veulent briser le moule pour assurer la transition de leurs ressources du brun au vert. Blunomy peut d’ores et déjà s’appuyer sur les quinze années d’expériences d’Enea Consulting ainsi que sur ses 120 consultants présents à Paris, Londres, Singapour, Hong Kong, Melbourne et Sydney. "Blunomy est une hybridation originale et performante des équipes d’Enea consulting et de leaders venus de l’industrie, de la finance, ainsi que de scientifiques et de spécialistes de la donnée et de l’impact", résume Isabelle Kocher de Leyritz.

Débrider le changement

Pour Vincent Kientz, président-fondateur d’Enea Consulting et deputy CEO de Blunomy, la nouvelle entité doit permettre de passer à la vitesse supérieure : "Aujourd’hui, les ambitions, la technologie et le capital sont à portée de main. Et pourtant, le changement est trop lent. Notre rôle, en tant qu’entrepreneurs, est de pousser plus fort et plus fort – sans craindre la complexité – pour faire bouger les choses. C’est pourquoi nous avons décidé de nous associer à Isabelle Kocher de Leyritz pour créer Blunomy. Nous voulons jouer un rôle encore plus actif dans la construction d’une économie décarbonée, circulaire, inclusive et régénératrice, et nous voulons contribuer à la réaffectation du capital vers cette économie." Une moitié des clients de Blunomy étant des entreprises industrielles, dont beaucoup évoluent dans des secteurs lourdement carbonés, et l’autre moitié, constituée de banques et de fonds, l’entreprise voit dans ce portefeuille une opportunité de faire bouger les lignes, de créer de nouvelles synergies, de faire se rencontrer les bonnes volontés. Á suivre.

Antoine Morlighem

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